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La Convention démocratique des peuples africains (CDPA) a renouvelé sa confiance à Kafui Adjamagbo Johnson samedi à la fin du 7ème congrès national ordinaire de ce parti. Cette dame, docteur en droit, va diriger pour les 5 prochaines années un bureau de 10 membres.
Ce mandat de cette femme politique très connue au Togo, se place sous le sceau du renforcement du parti, de la préparation de la relève par la jeunesse, puis la poursuite et la fin du combat contre le régime en place.
« Quand on est en plein combat, le souci, c’est de renforcer l’équipe qui est déjà à l’œuvre et de lui demander de préparer l’avenir qui suppose qu’il y ait une équipe de jeunes, une équipe montante qui prenne la relève dans 5 ans. Ce qui nous tient à cœur, c’est que d’ici le prochain congrès, nous mettions fin à ce combat, qu’on le gagne et que la voie soit enfin libérée pour que les générations futures se mettent à travail pour l’avenir de notre pays », a lancé la Secrétaire générale élue.
Les congressistes se sont aussi prononcés sur les élections régionales et législatives que le Togo prépare pour le compte de cette année 2023. « On nous a donné un mandat qui nous laisse une marge de manœuvre. Les congressistes nous ont dit de nous inspirer des stratégies et choix de nos prédécesseurs », a-t-elle souligné.
La CDPA a au cours de ce congrès, pris la résolution de renforcer le panafricanisme pour, dit-on, mettre fin à la domination extérieure, conquérir une véritable souveraineté, et faire en sorte que les dirigeants qui sont à la tête des Etats africains travaillent pour leur pays et non pour quelque autre intérêt.
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