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Pour une première fois, la technologie Blockchain s’invite à l’Université de Lomé (UL). C’est à travers une formation organisée vendredi par le département togolais de la plateforme mondiale ‘Binance’. Des centaines d’étudiants ont été formés sur cette technologie et les actifs numériques que sont les cryptomonnaies.
Selon Ameh Dovi, Binance Angel, cette rencontre a pour objectif de répandre la bonne nouvelle sur la technologie Blockchain et les actifs numériques.
« Nous avons parlé des cryptomonnaies ou actifs numériques et de la technologie Blockchain. Le développement d’un pays passe par le développement de la route de la jeunesse. Et cette cible ne peut être trouvée qu’au campus. Nous étions face à ces jeunes qui sont censés prendre des responsabilités demain, un public très enthousiaste et curieux de savoir. C’est très passionnant pour un avenir proche. Nous savons qu’en touchant cette cible, nous pourrons toucher beaucoup de personnes et cette éducation va être dupliquée dans le futur », a-t-il déclaré.
Selon ce volontaire de la plateforme Binance, les expériences ont prouvé que toute technologie qui sort nouvellement, l’Afrique est toujours en retard. « Mais cette fois-ci, avec la Blockchain, nous nous sommes dit que l’Afrique et particulièrement le Togo ne vont pas être les derniers. C’est pour cela qu’il nous faut nous lever tôt pour éduquer la population, particulièrement la jeunesse africaine et togolaise, afin de lui permettre d’embrasser cette technologie », a-t-il ajouté.
A la question, c’est quoi la technologie Blockchain, M. Dovi répond qu’il n’y a rien de plus passionnant. Quand on parle de cette technolo
gie, a-t-il regretté, beaucoup de personnes pensent directement à la cryptomonnaie qui d’ailleurs, soutient-il, est très mal comprise. La cryptomonnaie, a indiqué le Binance Angel, n’est qu’une particule de la technologie Blockchain qui est un océan d’opportunités.
C’est la seule technologie qui combine transparence, sécurité et confidentialité. « La Blockchain est basée sur la preuve et non la confiance. Aujourd’hui, entre humains, on ne peut se faire confiance. C’est une technologie qui vient supprimer le besoin de confiance entre les humains. On peut y vérifier tout, même les transactions », a-t-il expliqué.
Cette rencontre est le début de plusieurs activités à venir.
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